un nouveau départ

Le soleil était déjà haut dans le ciel quand le jeune fenryl rentra au château familiale.

- Où était tu, jeune homme, demanda Sandro le patriarche de la famille Epsylon.

- j'étais parti dire en revoir a certains amis père, lui rétorqua le jeune garçon.

- je croyais que cette conversation avait pris fin hier, tu ne partira pas en terre paladine et tu restera ici pour veiller et protéger les tiens, fils.

- La conversation d'hier, mais c'est vous père qui avait choisi d'y mettre un terme, je veux voir du pays et non rester toute ma vie en ces lieux.

- Comment oses-tu discuter mes ordres, je te laisserai partir sans un sous et sans équipements sache le, jeune sot, ton devoir et de me sucéder et non de partir batifoler avec n'importe quel étrangère.

- Père, je vous respecte vous ainsi que tout les personnes de notre famille, mais je ne suis pas comme vous qui resté la en imaginant ce qu'il y a plus loin, moi je veux le voir et quand je serai de retour, car oui je reviendrai, je raconterai les merveilles que j'ai vu ainsi que les guerres auxquelles j'aurai participer.

- Si tu le prends comme ça, jeune homme, sache que dorénavant je te renie, tu n'est plus mon fils a compter de maintenant part et ne revient jamais, GARDES escortés ce jeune impudent hors de cette enceinte et qu'il ne revienne jamais.

-OUI, sir.

Le jeune Fenryl ne savais que dire, il resta bouche bée en entendant son père prononcer ses mots, et il se retrouva hors des lieux qu'ils l'avait vu grandir sans comprendre ce qu'il lui arriver.

- Bien, mon rêve commence mal, se dit il, je n'ai plus qu'a trouvé la cité paladine la plus proche.

Le jeune homme parti donc, sans un sous et sans équipements pouvant le protéger, il se sentait mal, mais savait que cela lui forgerai le caractère.

Il parcouru de nombreuses contrées qu'ils lui étaient inconnues, en travaillant dans des taverne minables pour payer sont voyage, mais cela pensait il lui était bénéfique.


Quand enfin il arriva en lieux paladins, il vit un spectacle qu'y lui coupa le souffle, de grands remparts derriére lesquelles se dressai un château cent fois plus grands que celui qui fût le sien lors de son enfance.

Il s'avança,maladroit, vers l'un des gardes de l'entrée et lui dit.

-Excusez-moi Monsieur, serais t'il possible de rencontrai quelqu'un qui m'enseignerai les arts paladins car mon ambition,et de devenir un chevalier de l'ordre et de la justice.

En regardant le jeune homme le garde esquissa un sourire, et dit.

- Un jeune homme demande a voir un paladin pour le former, Pouvez-vous faire mander le seigneur Hercule.

En entendant cela, Fenryl ne savais plus très bien quoi pensais, mais il décida de restai la afin de parfaire ces connaissances.

Hercule préparait les nouveaux modes de fonctionnement de la garde, histoire de faire revivre vivre la cité dans la securité et le joie. Quand soudain, un garde vint a frapper à la porte de son bureau.

- Oui, entrez...

le garde entra :

- Messire, excuser moi de vous deranger mais une personne vient vous querir, je ne sais pour quelle raison. C'est un humain mais je ne le connais pas, peut etre un rebelle espion ? Je vais le questionner de suite....

- Non, dit hercule d'un ton sec, si questionnement il y a, c est a moi de le faire. j'y vais de ce pas.

Hercule se leva, prit son equipement et se dirigea vers l'entrée de la cité a l'encontre de la personne.

le garde prit la parole :

- Voici, Fenryl, il se dit membre d'une famille paladine retirée dans les forets namidas.

Hercule devisagea l'homme et se présenta :

- Enchanté, je me nomme Hercule, chef des armées paladines, je vous souhaite la bienvenu dans notre cité... Quel est votre motif de visite ?

Fenryl attendait le sus-nommé Hercule, tout en regardant le paysage, il se rappela les paysages qui était chez lui, et se décida a implorai sont père afin que ce dernier lui offre son pardon.

Il alla voir le garde pour lui faire part de sa décision, mais ce fût a cette instant qu'il entendit un grand fracas métallique et vit la haute porte en bois de chêne s'ouvrir.

Il vit alors, un homme de haute stature, assez bien bâti.

De lui, émanait force et puissance, et Fenryl pensa que cette personne devait inspirer la crainte a ses ennemis et courage et respect a ses subalternes.

L'homme s'adressa a fenryl avec un voix rauque mais elle n'était pas hostile plutôt amicale et bienveillante.

- Enchanté, je me nomme Hercule, chef des armées paladines, je vous souhaite la bienvenu dans notre cité... Quel est votre motif de visite ?

- Excusez moi, Sir, je voulais savoir si vous avez besoin de quelqu'un dans vos rangs. Je me suis fais chasser de ma famille car je veux devenir un paladin digne de ce nom et ma famille ne fût pas d'accord avec ma décision d'explorer le monde.

En voyant le visage d'Hercule, Fenryl ne savait quoi penser, Fenryl avait peur de cette homme.