Rencontre avec l'apprenti Wayard

Gabriel occupait désormais un poste important, conseiller économique et rentrait d'un long voyage sur les terres Namida, accompagné par Borkte. Il entra dans la banque juste après le passage des portes où un garde de sa connaissance lui avait adressé un signe de la main. Il profita de son passage au guichet pour retirer un parchemin de sort basique.

Après avoir accompli son devoir, il se mit en quête d'un certain Wayard qui souhaitait le rencontrer pour devenir son apprenti. A vrai dire, Gabriel était un peu nerveux; surtout qu'un mage aveugle ne faisait jamais grand effet. Il possédait cependant un don de vision qui lui permettait de reconnaître des créatures ou des hommes vivants. Ses autres sens étaient assez développés pour lui permettre d'appréhender les aléas de l'existence.

Il se rendit à la taverne après avoir traversé une place tumultueuse et entreprit d'entrer dans son ancien lieu de travail. Il chercha du regard une tête nouvelle et ne la discerna pas parmi la masse des convives silencieux. Il passa la main dans ses cheveux blonds ébouriffés, puis rejoignit une table non loin du bar, avant de commander un verre à la nouvelle serveuse qui le remplaçait à son poste.

Ensuite, il attendit l'arrivée du jeune mage, en soupirant et bâillant. Il espérait que Wayard ne s'était pas perdu en chemin et qu'il ne s'endormirait pas avant son arrivée, sinon il risquait fort de se sentir embarrassé...

Le magicien après de longues années d’apprentissage chez son maître, au cœur des montagnes à l’est de ces terres, revint vers cette ville qui l’avait vu naître 20 ans plus tôt. Son maître lui avait demandé de partir à la recherche d’un autre mage pour lui enseigner ce qui lui restait à apprendre.

En voyant apparaître, au loin la ville, il fut éblouit par sa splendeur. Au bout de cinq années, les souvenirs qu’il gardait de la ville s’était peu à peu estompé dans son esprit.

Il envoya plusieurs messages à différents mages, pour trouver son nouveau pédagogue. Il erra plusieurs jours dans la ville attendant d’éventuelle réponse, tout en redécouvrant la ville de son enfance.

Il commanda une bière à la taverne qui était déjà bien pleine, vu l’heure de la journée. Il s’installa à une table pour boire tranquillement et savourer ce pur moment de satisfaction. Wayard n’avait pas bu une seule goutte d’alcool depuis le début de sa formation.

Wayard tenait dans sa main droite un poignard bien aiguisé, il jouait avec dextérité avec cette arme blanche. La pointe arpentait avec délicatesse et élégance les doigts de la main gauche.

Il se perdit dans ses pensées…

Gabriel se réveilla en sursaut après un petit somme et jeta des regards alentours. Le bruit d'un poignard attira son attention et il reconnut aussitôt un personnage avec des pouvoirs magiques. Sans doute était-il un apprenti. Gabriel se dirigea vers lui, tout en attrapant une boisson non alcoolisé au passage.

Puis, il prit place en face de Wayard qui jouait avec son arme d'un air absent. Durant son cours trajet, il s'était rendu invisible aux yeux des simples mortels pour observer les réactions du jeune apprenti. Quand son évaluation fut terminée, il réapparut.

"Et bien, vous devez être Wayard, non ? Je suis ravi de vous rencontrer. Je m'appelle Gabriel. On m'a dit que vous recherchiez un nouveau maître. Pourquoi donc si cela ne vous est pas indiscret ?"

- Attends mon fils, j’ai quelque chose à te donner. Il faut juste que je puisse remettre la main dessus ! Cela appartenait à ton père… Ha le voilà tient il voulait que tu le porte tout le temps sur toi, une fois ta formation commencée.

Wayard sursauta à l’apparition d’un homme qui lui posa une question, il ne l’avait pas vu arriver. Du sang coula de son pouce, où une coupure apparut. Il remarqua tout de suite l’aura que dégageait cet homme. Il se maudissait de n’avoir pas été attentif et de s’être fait surprendre.

- Oui bien sur, mon ancien professeur, qui était un ami de mon père et mandaté par lui pour parfaire mon éducation, à du arrêter ma formation. Des troubles s’étant élevés dans son peuple, il était obligé d’être absent plusieurs mois. Et vous êtes un professeur qui recherche un élève par le plus grand des hasards ?

Il rangea son poignard à l’évocation de son père, en prenant un soin tout particulier à ne pas l’abimer en nettoyant le sang qui coulait le long de la lame.

"Oui, je recherche un apprenti, par les plus grands des hasards. J'ai là quelques parchemins pour vous aider à continuer votre formation. Vous avez encore beaucoup à apprendre; surtout à être attentif. Un mage assassin n'aura aucun scrupule à vous tuer s'il peut le faire sans risque. De nos jours, ces êtres là pullulent de part le monde."

Gabriel médita quelques instants en songeant qu'il y allait peut-être un peu fort dés le début. mais il se devait d'être franc, il avait déjà reçu des menaces et avait souvent été à deux doigts de mourir.

"La fonction que j'occupe actuellement ne me permet pas de vivre sans risque. J'ai néanmoins un sens de l'éthique tout paladin et j'observe en plus un code : le Flamboyant. Je te fournirai dans un certains temps ces règles magiques et tout ce qui a à voir avec elles. La première loi Paladine que j'observe est ainsi rédigée : ne pas tuer à moins d'y être contraint et forcé, soit pour protéger sa propre vie, soit pour veiller sur la vie d'un paladin ou d'un allié. "

Gabriel continua de parler sans détour.

"Si tu veux être mon apprenti, tu devras toi aussi observé ces règles. Quand tu seras mages à part entière, tu pourras les ignorer si tu le souhaites. En échange, je t'enseigne la magie, t'apprends des sorts et te donne un travail pour subvenir à tes besoins. Je connais des personnes plus ou moins hauts placés qui seront en plus ravis de te fournir un équipement solide, adapté à ton niveau. Passé ces directives, et si tu es d'accord, je serais ravi que nous fassions connaissance. Quelles aptitudes t'a enseigné ce professeur ?"

- Vous pouvez d’or et déjà me considérer comme votre élève, je vous suivrais jusque dans les abysses, s’il le faut. Je défendrais les habitants de cette cité, comme si chaque membre appartenait à ma famille. Je vous obéirai et suivrai tous les conseils que vous jugerez utile de me transmettre.

Wayard regarda attentivement les autres clients de la taverne mais ne trouva aucun danger dans les comportements des buveurs attablé comme lui, ou accoudé au bar. La tavernière servait les bières et les boissons avec élégance et dextérité. Cette femme était une des plus belles créatures qui pouvait exister sur cette terre. Le paladin regardait bouche bée, cette splendeur se mouvoir avec grâce et prestance. Revenant à la discussion avec Gabriel, il lui répondit :

- Mon ancien Maître, m’a appris à emmagasiner ma puissance magique, à exploiter au maximum l’aura de la nature si puissante qu’on pourrait détruire une ville avec un simple sort basique, si seulement l’homme ne se fatiguait pas aussi vite en puisant dans cette force. Je peux soigner n’importe quel créature avec un sort de soin, et également des sorts de défense efficace, malheureusement, il n’eut pas l’occasion de m’apprendre les sorts d’attaques, il disait tout le temps qu’un sort d’attaque ne servirait à rien si je ne savais ni soigner, ni éviter les attaques adverses.

Gabriel écouta patiemment son nouvel apprenti, et le jugea digne de recevoir son enseignement.

"Voici pour toi un sort d'attaque basique, de feu. Apprends le et entraînes toi à me le lancer. Le jour où tu feras mouche sur un monstre, tu l'auras parfaitement maîtrisé. Je t'emènerai avec moi lors de mes voyages mensuels chez les Namidas. Prépares toi."

Gabriel resta un petit instant silencieux, histoire de réfléchir.

"ET ton maître a bien eu raison : l'esquive et les premiers soins sont primordiaux pour un mage. Mais il se trompait en cela que manier un sort d'attaque te permettra de te familiariser avec, et ainsi de savoir comment il fonctionne. Si tu vois les effets d'un sort d'attaque, tu pourras plus facilement le contrer ou au moins reconnaître quand on te le lancera."

Gabriel se tut, une silhouette venait de se profiler dans l'entrée de la taverne de Tradiria. Le jeune Paladin mage se leva aussitôt, avec un salut de circonstance :

"Bonsoir mon roi. Que la paix soit avec vous."

(* HRP : ça y'est Agendorf, tu peux venir avec l'équipement, XD *)

Le Palais sa nouvelle demeurs, grande, luxueuse, impressionnante quoi, la vie y était bonne mais il manquait quelque chose, et une chose que tout les hommes aimes c'est la bonne bière et de temps en temps une bagarre amicale. Et pour trouver cela rien ne vallait la taverne du Soleil. Sortant du palais, il ne prit même pas le soins d'indiquer aux gardes sa destinations, de toute façon la taverne était visible depuis l'entrée du palais.

Passant aux travers des rue il rendis les saluts au diverses personnes qu'il croisat et finit par arriver devnat la porte, l'ouvrant il rentrit dans la taverne, la plupart des tête se tournèrent vers lui, comme à l'arrivée de n'importe qu'elle nouveau client, mais là un silence s'installa chose assez inhabituelle ici, un habitant qui riait à gorge déployée d'une blague certainement pas drôle se fit remettre les idées en place par un violent coup de coude dans les cotes. L'effet négatifs d'être Roi est que tout le monde vous croit au dessus d'eux et n'ose rien faire ou dir epar peur de froisser "son Altesse", Agendorf en était sur, il pourrait si il le voulait renverser une bière sur la tête de son propriétaire sans que celui-ci dise quelque chose(ca c'est un des coté positif du négatif).

Un seul client bougeait et Agendorf le reconnu tout de suite, Gabriel, après les salutations de ce derniers, le Roi ferma son poing droit et vint l'appuyer sur son coeur tout en se penchant : "Merci et qu'elle t'accompagne aussi."
Se relevant il vit une nouvelle tête qui semblait se demander ce qu'il se passait, si il ne parlait pas c'était surtout, à l'avis du Paladin, à cause du brusque changement d'ambiance dans la taverne, et c'est vrai que l'air commencait à devenir oppressant. S'asseyant au comptoir la barwoman s'approcha en courant :

"Je vous en prie Seigneur, une table est libre au fond de la salle loins de tout ces ivrognes."
Regardant cette belle femme Agendorf lui sourit :
"Merci, mais il y peu je prennait du bon temps dans cette taverne et tout le monde s'amusait que je soit là ou pas, et les ivrognes ne m'ont jamais importuné. Pouruqois cela changerais aujourd'hui ?"
Puis se retournant ves l'assemblée, il se pencha légèrement en arrière pour poser ses coudes sur le comptoire, il prit une grande inspiration poru pouvoir parler fort :
"Je suis un homme comme vous, cette élection ne m'a pas changer et j'aime prendre du bon temps à la taverne toujours, pour changer de l'austerité du Palais, mais à voir j'aurais mieux fait d'y rester, faites comme si je n'était pas là bon sang." Devant la tonne de paire d'yeux globuleux qui semblait avoir avaler toute ses paroles mais ne créant aucune réaction souhaitée, Agendorf se remit face au comptoire tout en soupirant :
"Pire que des bewoks." Puis continuant sur un ton normale "Bon sert moi quand même une bière, je ne serait pas venu pour rien au moins."

Le changement d'ambiance l'avait tellement surpris qu'il en avait oublier Gabriel, qui n'avait pas bouger depuis son arrivée, et il ne prettait plus attention à Wayard qui était seul à sa table.

Wayard remercia Gabriel de lui offrir un sort d’attaque. Il se mit immédiatement à lire et à essayer d’utiliser le sort, à l’encontre de la première règle de sécurité que les mages sont censés connaître et respecter à la lettre. Cette première règle est naturellement de ne pas s’entraîner en présence d’autres personnes non magiciennes. De faibles lueurs commencèrent à apparaitre dans les paumes de l’apprenti, pour disparaître promptement.

Gabriel, avait eut l’attention détourné par l’arrivé du Roi, que Wayard n’avait pas aperçu. De longues minutes passèrent. Concentré par son étude, Wayard avait oublié le monde qui l’entourait. Et l’inévitable arriva, quand la chaleur devenue trop forte pour l’étudiant l’obligea à envoyer la boule de feu formée par magie.

Les clients de la taverne se jetèrent tous à plat ventre dans un brouhaha indescriptible. La boule de feu atteignit Agendorf dans le dos, qui était venu boire tranquillement.

"Sire, je suis désolé, je ne vous avais pas vu, vous allez bien ? Laissé moi vous soigner."

Après la tentative de son roi pour faire en sorte qu'on l'oublie, Gabriel soupira longuement. Agendorf serait toujours Agendorf. Sortir à l'improviste du palais pour rallier une taverne lui rappelait sans doute le bon vieux temps. Malheureusement, quand on était Roi des Paladins, ce n'était plus aussi simple de passer inaperçu.

"Je peux peut-être arrangé ça."souffla Gabriel avec un sourire désarmant. "Certains sont prêt à tout gober, surtout quand ils ont bu une généreuse bouteille d'alcool..."

Le jeune Paladin mage n'attendit pas la réponse de son roi pour s'élancer au centre de la taverne, repousser un ivrogne endormi et monter sur sa table. Les regards effarés se tournèrent peu à peu dans sa direction. Avec un vent bien incliné, Gabriel parvint à leur faire accélérer le mouvement.

"Ce soir, notre Roi a désiré tester votre ardeur, votre bon sens et votre inestimable et illustre joie de vivre en son Royaume. S'il est venu ici en solitaire, ce n'est pas temps pour boire un simple verre de bière comme vous autre. Je vais vous révéler quelque chose : notre roi est en mission spéciale !"

Quelques "hoo !" de surprise parcoururent la taverne.

"Le Terrible Barbe Blanche -oui, le pirate sans foi ni lois qui parcoure nos eaux - a accosté non loin de Tradiria pour accomplir ses sombres desseins. Notre Roi a décidé de le prendre à son propre jeu : l'alcool. Il a fait livrer récemment dans cette taverne des bouteilles remplis d'un Alcool fort : La BI-AIR. Le Terrible Barbe Blanche en est friand. Or si vous en faites pas comme d'habitude, la mission de notre illustre roi échouera ! ET le Pirate ne rentrera jamais à l'intérieur de la taverne ! Voilà pourquoi, nous demandons votre aide pour le capturer. EN guise de paiement, toutes les tournées seront gratuites le reste de la soirée."

Des hurlements enjouées explosèrent brusquement à travers toute la taverne. Un ivrogne brandit le poing :

"Nous vous servi..."

ET tomba avant de finir sa phrase quelque part près de la cheminée.

"Ouais, nous ferons un joli tas de paille de ce fumier.. Mais en attendant, reprenons notre petite conversation musclée !" s'exclama l'un d'eux en attrapant son camarade par le col.

"Ouais ! De la BI-AIR !"

"J'ai hâte de goûter !" cria un autre gaillard.

"Tavernier, à vous de jouer !"

Ce dernier lui adressa un clin d 'oeil avant de convier sa magnifique serveuse avec une bière tout à fait habituel.

"Mon roi, j'espère que vous ne ferez plus grise mine, à présent." souffla Gabriel en le rejoignant.

"Permettez moi de vous présenter Wayard, mon nouvel apprenti et sans doute, mon assistant, demain. Qu'en dites vous ?"

Gabriel s'aperçut soudain que le dos de son Ami et roi avait pris feu. D'un jet d'eau, il l'éteignit tandis que Wayard proposer de soigner sa bavure.

"Le roi n'a certainement pas sentir grand chose, il est mage lui aussi." déclara Gabriel entre ses dents à l'adresse de Wayard.

Alors qu'il se concentrait sur la serveuse en train de lui remplire une choppe de bonne bière blonde, Gabriel le rejoint pour proposer d'arranger l'ambiance, n'ayant même pas le temps de répondre que Gabriel se trouvait déjà sur une table, étant aveugle il commencait vraiment à bien connaître les lieux pour effectuer une telle acrobatie.

L'écoutant d'une oreille quelque distraite il l'entendais parler d'un terrible Barbe-Blanche que le Roi voudrait prendre à son propre jeu, les clients semblaient impressionné et boire les paroles du mage. Décidement ce Gabriel aurait fait un très bon politiciens, vu sa manière à raconter des bobards. Alors que la serveuse partait les bras chargé de bière, ou de BI-AIR tout dépends où l'on se place, elle lui déposa une grande choppe remplie à ras-bord, et déjà les bruits de bagard et d'insulte comment à fuser au sein de la taverne.

"Oui merci, je me sent un peu plus à la maison là, mais tu sait que..." Et il lui semblait avoir sentit comme une ondée de chaleur le traverser depuis le dos.

Se retournant il vit une jeune personne qui regardait confus dans sa direction, Gabriel le lui présenta comme Wayard, son nouvelle apprentis, "un aveugle qui enseignerait à un maladroit, voila une équipe de choc" ne pouvait s'empêcher de penser Agendorf. Alors qu'il se tournait pour prendre sa bière, Gabriel dû sentire la chaleur émanner de l'armure d'Agendorf car il reçut une sorte de jet d'eau venu de nul part. Wayard se proposa pour soigner les blessures qu'il aurait commise et Gabriel le reprit aussitot comme quoi, le Roi est aussi mage et n'a pas sentit grands chose, en effet c'est surtout le matériel qui avait encaissé lui même n'avait presque rien sentit si ce n'est cette ondée de chaleur.

Les clients de la tavernes s'étaient tous réfugier sous quelque chose les entourant, par peur de l'attaque magique, il semblait même à Agendorf en voir couché sur les tables avec les verres vide couché sur eux, décidement certains Paladins ne ferait pas longs dans une armée en attaque :

"Ne t'en fais pas, Wayard c'est ca ? Je suis un peu de tous sur ces terres, de guerrier à tailleur, en passant comme te l'as dis Gabriel par mage. Je n'ai donc rien sentit et les petits dégats seront assez facilement réparable. Et je préfère recevoire une de tes attaques maintenant que dans quelques temps où elles pourraient réduire un bâtiment en cendre."
Partant d'un grand éclat de rire devant la tête surprise et interloquée de Wayard, il commanda une nouvelle choppe pour le jeunôt, puis se levant il se dirigeat vers la table d'où Wayard s'était levé "Allons nous asseoire ca sera plus confortable pour parler."

Se laissant tombé sur sa chaise il attendis que ses 2 compagnons le rejoigne et s'asseye, pour continuer "Alors comme cela tu veux devenir un mage Paladin, en tous cas tu as un bon maître ca je peux te l'affirmer, et tu nous viens d'où et qu'est ce que tu attends pour ton avenir, j'ai quelque connaissance dans les hautes sphère du peuple Paladins qui pourrait t'aider." Fini-t'il sur un grand sourire.

Après le petit intermède qui avait un peu bousculé le train-train quotidien de la taverne, et fait fuir bon nombre de clients, le Roi proposa de s’asseoir pour continuer la discussion et boire un petit coup. Le calme revenait doucement dans le petit établissement et le flot de clients qui s’étaient sauvé revenait par petit groupe.

"Je crois en effet, que Gabriel sera pour moi un mentor exceptionnel, qui me permettra de progresser vers la voie de la sagesse. Si vous ne voyez pas trop d’ambition, mon rêve d’enfant est de devenir le chef des armées Tradirienne. Bien évidement je serais être patient et attendre que la place se libère pour briguer cette place, et surtout attendre d’avoir de l’expérience en matière de guerres. Je viens d’une montagne où pendant quelques années, j’ai appris à concentré mon énergie magique et à soigner avec mon précepteur, je pense pouvoir dire que je suis un des meilleurs soigneurs mage au monde. C’est mon père, que je n’ai jamais connu, qui à demandé à ma mère, de m’emmener à ce maître pour qu’il m’entraîne. Une de ses dernières volontés, avant de disparaître."

Il essaya d’imaginer comment était son père, sa mère n’avait jamais voulu lui en parler, même quand il insistait pour savoir comment il avait disparût et si il était un guerrier renommé. Même son nom, lui était inconnu. Un soupir de désespoir monta de la poitrine d’Wayard.

Voyant Wayard, venir s'asseoire il sourit. Ainsi il avait suivit des enseignement d'un maître de sa montagne natale et souhaitait parfaire son enseignement au sein du peuple Paladin, souriant Agendorf pris un gorgée de sa BI-AIR et avec encor un peu de mousse sur sa moustache :

"Ce n'est pas à moi de te donner la permission pour avoir un maître, c'est à toi de te débrouiller pour te faire accepter de lui. Et si tu es comme tu el dis le meilleures soigneur de ces terres, je me réjouis de pouvoir compter sur toi lors de nos prochaines batailles, les mages sont une des forces manquante des Paladins, et je ne peux qu'encourager ton souhait de devenir chef des armées Tradirienne, ceux qui n'ont pas d'ambition finisse bien souvent par se faire manger par ces terres."

Levant son verre il pourusivit : "A Wayard."